Publié le 30 juillet 2011, dans Actualités, France, Marine de plaisance, Marine marchande, Pêche
Les métiers de la mer: un secteur qui recrute
Faire de sa passion, un métier
La formation maritime prépare traditionnellement aux métiers de la navigation, mais elle prépare également aux métiers des cultures marines.
Les métiers de la navigation
Trois filières distinctes existent pour les gens de la mer: le transport, la pêche et la plaisance professionnelle. Les navigants assurent aussi la conduite et l’exploitation commerciale du navire.
Pour conduire un navire, il faut des membres d’équipage formés aux techniques de navigation et d’autres au fonctionnement et à la gestion des machines.
Pour l’exploiter, il faut selon les cas des membres d’équipage formés: au transport de passagers ou de marchandises, à la pêche ou à la plaisance professionnelle.
Différents niveaux de responsabilité :
Le commandant, le chef mécanicien, le second pour la direction.
L’officier chargé du quart pour le degré opérationnel.
Matelots et mécaniciens, indispensables au bon fonctionnement du bateau sur des niveaux dits « d’appui », de renforts, en quelque sorte.
Les métiers de la culture marine
Les conchyliculteurs exercent essentiellement dans des exploitations de production d’huîtres et de moules. En fonction du niveau d’études il est possible de diriger un exploitation.
Les métiers existants sont classés sous différentes catégories
La Marine marchande:
Le transport maritime assure l’essentiel des échanges du commerce international.
Le commerce maritime français emploie environ 12 500 navigants français, 3 000 navigants étrangers et 8 500 personnels sédentaires. Le chômage est nettement en dessous de la moyenne nationale, notamment pour les officiers.
La France est actuellement en pénurie d’officiers. Les débouchés sont donc assurés et les salaires par conséquent sont élevés.
Chef mécanicien, lieutenant au pont, second de capitaine et capitaine sont quelques exemples de postes.
La pêche maritime
Elle est marquée par des traditions mais aussi soumise aux aléas de la production et aux contraintes de l’environnement.
Cette catégorie conviendra à toutes personnes ayant un esprit de liberté et qui aime les grands espaces.
Matelots, capitaines ou encore mécaniciens à la mer, sont les actifs majeurs de ce secteur d’activité.
Métiers des « cultures marines«
Ce terme désigne l’élevage de coquillages marins (conchyliculture), de poissons de mer (aquaculture marine) et d’algues (algoculture) ou encore de crustacés.
De la production à la commercialisation, ce secteur offre un large éventail de métiers d’aquaculteurs, de l’employé(e) conchylicole au chef d’exploitation.
Métiers de la plaisance professionnelle
Les métiers du yachting professionnel sont des métiers à part entière qui exigent une grande expérience de la mer.
Commander dans le monde entier des yachts, à voile ou à moteur, transporter des passagers pour le compte d’une société ou d’un propriétaire privé, sont des activités alliant art de la navigation, expertise technique et maîtrise de la voile.
La qualification professionnelle est exigée par la réglementation et reconnue par la délivrance d’un titre de formation maritime sur le modèle de la marine marchande.
Le métier de Skipper étant le plus fascinant.
De nombreuses perspectives d’emplois, parfois méconnues sont donc, grâce au secteur maritime, à la portée de tous.
Pour retrouver tous les métiers de la mer, les formations proposées, les salaires et les perspectives de carrière: http://www.developpement-durable.gouv.fr
Marie Gauvain pour Seableue
Bonjour
Important de préciser qu’en Milieu Marine Marchande, comme préciser dans l’article, les offres d’embarquement sont « réservées » aux officiers issus des ENMM, aux prérogatives illimitées. Les officiers brevetés 3000 et 500 peinent à trouver des embarquements, souvent précaires. Ne parlons pas des Capitaines 200 qui sortent par centaines des lycées professionnels maritimes et qui devront attendre l’opportunité d’un embarquement saisonnier précaire laissé vacant par le ras le bol de son prédécesseur. Et bien sur ils auront préalablement été « promené » de bateau en bateau, de port en port avant d’y accéder.
En résumé il y a deux mondes dans la Marchande, les diplomés ENMM, parfois « arrivés là » par hasard, bénéficiant d’une équivalence ingénieur à terre avec leur diplôme et qui parfois ne sont pas plus marin qu’un chat. Puis les brevetés issus de la formation continue, qui ont commencé en bas de l’échelle (mousse-matelot ou équipier) et qui retournent en formation après validation de chaque barreau de l’échelle.. C’est généralement ceux là, les « vrais » marins, passionnés, connaisseurs, multi expérimentés. Après des années de précarité, ces mêmes marins, à force d’acharnement, de passage et retour en ENMM ponctuels, finissent par aboutir aux fonctions suprêmes tant méritées. Mais ils sont très peu nombreux. Pour ma part, raisons familiales obligent, j’ai préféré quitter ce milieu, lassé de me faire abuser par des armateurs profitant vicieusement de cette situation. J’en suis donc revenu à mon premier Amour la Plaisance mais sous une autre forme, broker mais pas profiteur…
je recherche actuellement un embarquement, je suis isssu de l’école supérieur de navigation d’Anvers et je suis chef de quart département machine (monovalent sans limite de puissance,, si vous connaissez quelqu’un qui embauche faites le moi savoir
merci d’avance
je suis mecanicien 750kw je cherhe du boulot
je suis a l ecole daniel rigolet Cherbourg
Je suis à la recherche d’un emploi sur un navire plaisance.
Diplômé certificat de capacité en plaisance hauturier
Les risques professionnels des activités ostréicoles sont importants et les accidents du travail dans le secteur de l’ostréiculture sont nombreux, c’est donc aussi un métier ou il y a des risques professionnels à bien prévenir en particulier par une bonne formation : http://www.officiel-prevention.com/formation/fiches-metier/detail_dossier_CHSCT.php?rub=89&ssrub=206&dossid=442